Paroles de la chanson
From month to month,
she lived as much,
as she could,
She was young and pretty,
attractive and pleasant,
a flower in its own right.
Her existence,
defined by fertility,
justified would be,
through her child.
She was young and pretty,
attractive and pleasant,
a flower in its own right.
She followed the fashion,
followed the men,
caught by her looks,
who followed her,
and the sweet poetry,
she recited,
that generations of men and women,
have refined,
throughout their lives,
She was young and pretty,
attractive and pleasant,
a flower in its own right.
The man of her choice,
a good father,
he must be,
a good leader of family,
he must be.
Her existence,
defined by fertility,
justified would be,
through her child.
She was young and pretty,
attractive and pleasant,
a flower in its own right,
a flower in own right.
Concept d'art et commentaire
Cette chanson parle de la vie des femmes. Elle décrit les principes auxquels elles adhèrent et qui leur donnent des repères, du moins dans leur jeunesse. Chaque fille qui a terminé sa puberté et qui peut alors "potentiellement" devenir mère est guidée par ces principes. Ils font partie des visions du monde des femmes.
Une "vision du monde" est une particularité de l'Homo Sapiens. Il s'agit de la connaissance la plus élevée qu'une personne a des hypothèses sur le bien et le mal, en fonction de laquelle elle aligne sa boussole morale et qui lui permet de mieux saisir la dynamique du monde et ses interconnexions.
Par conséquent, elle peut mieux affirmer sa volonté dans la société pour atteindre ses objectifs.
Dans ce contexte, la "vision du monde" est un phénomène très social qui émerge dans une dynamique de groupe plus grande, et aucun schéma ne s'adapte de la même façon à tous les participants. Avoir une bonne vision du monde, très développée, demande un effort et une activité mentale constants. Il s'agit d'une question de contestation approfondie avec soi-même et par rapport au monde, à l'aide du langage.
Si une personne a acquis une vision du monde de grande qualité dans un environnement particulier, il n'est pas garanti qu'elle puisse conserver ce statut. Quelqu'un ayant une meilleure compréhension des interconnexions du monde peut à tout moment lui ravir le rôle de leader.
La "vision du monde" n'est pas une affaire privée. Les personnes qui ont une vision du monde développée ont un cerveau très actif !
Une vision du monde est normalement liée à une langue maternelle. Une langue de niveau supérieur (par exemple, l'anglais ou l'allemand) permet à une personne de mieux saisir et comprendre des dynamiques de groupes sociaux complexes et plus grands dont la plupart des autres personnes ne seraient pas conscientes.
Une bonne organisation plus grande, qu'il s'agisse d'une université, d'une ville, d'une nation, d'une entreprise commerciale qui se trouve liée par une langue commune se développera et réussira d'autant mieux que ses membres pourront atteindre (pendant un certain temps) une vision du monde relativement de qualité.
La qualité de la conscience collective et de l'identité du groupe en dépend entièrement.
L'objectif le plus important dans la vie d'une femme est censé atteindre un plus grand amour et aussi maintenir et assurer un niveau élevé d'amour à long terme.
Les "bons" pères sont des hommes qualifiés et compétents, capables de "conduire" à un plus grand amour.
Être mère signifie être une bonne médiatrice entre deux réseaux patriarcaux (celui de son père et celui de son mari) pour le bien de l'enfant.
Une femme et une mère ne peuvent être aussi bonnes que son homme/mari et son père.
Grâce à l'amour, au moins deux personnes s'unissent, trouvant un terrain d'entente grâce à une conscience de groupe partagée. Avec une telle conscience de groupe, où au moins deux cerveaux travaillent ensemble, les personnes impliquées peuvent mieux appréhender et comprendre des contextes et des dynamiques sociétales plus grands, ce qui permet à l'individu de développer une meilleure vision du monde.
La présence de symboles est nécessaire pour promouvoir une certaine conscience de groupe. Seul ce qui peut être exprimé par des symboles peut (potentiellement) devenir conscient pour un être humain. L'amour n'est pas possible sans un minimum de conscience partagée entre ceux qui célèbrent l'amour (entre eux).
Le but du sexe est finalement la procréation, la création d'enfants et donc la création d'une organisation, d'une nouvelle famille, qui garantirait un amour certain, stable et régulier à long terme.
Parfois, il est bon de partager équitablement les richesses matérielles entre les membres du groupe (du moins si l'organisation est une famille).
L'amour, c'est la tolérance et l'inclusion. Plus l'amour est grand dans une famille, plus Dieu peut être grand pour l'enfant. Cette dernière idée découle de l'argument ontologique d'Anselme de Canterbury. Au XIe siècle, Anselme a défini Dieu comme "un être au-delà duquel rien de plus grand ne peut être pensé" et a soutenu qu'un tel être doit exister dans l'esprit, même dans celui de celui qui nie l'existence de Dieu.
Dieu est désormais présent à travers le comportement émergent d'un groupe de personnes, d'une organisation, orchestré et dirigé par les moyens d'une religion. Il s'agit d'une dynamique sociale qui échappe régulièrement à la conscience de l'individu. Cependant, une telle dynamique sociale pourrait être plus tangible dans la conscience de groupe.
Dieu est la personne la plus inclusive qu'un peuple puisse imaginer. Certains autres peuvent avoir des hypothèses différentes sur le bien et le mal et des hypothèses différentes sur le caractère inclusif de Dieu. Les petits enfants sont les êtres humains les plus inclusifs de ce monde, et ce sont eux qui rêvent le plus.